Calis

Présentation du joueur

Prénom: Secret !
Age: 12 ans
Aime: Beaucoup trop de choses pour qu'elles soient toutes énumérées !
N'aime pas: Peu de chose ... Sa vous va comme réponse ? Moi elle me convient

Autre: Ma foi, rien de très particulier !

Présentation du personnage

Nom: Caldin
Prénom: Calis
Age: 10 ans
Sexe: Féminin

Description physique: De longs cheveux couleur ébène encadrent un visage fins, aux traits doux et gracieux. Un nez de petite taille sépare deux yeux gris clair pur, et des joues claires entourent des lèvres fines, rose pâle. Le visage se termine par deux oreilles graciles, terminée en arrondie. Non dépourvue de la beauté de sa famille, Calis possède un corps élancé, mince, mais d'une dextérité étonnante. Ses jambes sa taille est fine, la courbe de ses hanches fait couler ses long cheveux sur ses jambes fines. Ses bras allongés se terminent par des doigts longs et doux. Sa peau est pâle. Ses gestes sont déliés, vifs et agiles. Elle est gracieuse, mais habile et prompt quand elle se bat.

Description mentale: Plutôt réfléchie et précise, la jeune fille peut être impulsive, sous le coup de la colère. Généralement discrète et douce, elle ne s'ouvre que si elle l'entend, ou si elle le juge utile. Elle se révèle par ses ordres sans appel, mais aussi par sa présence, et sa compréhension. Elle cache ses sentiments, et n'offre jamais une confiance entière, quand elle en offre. Elle sait manipuler, en utilisant autant ses propos que sa beauté physique. Elle est intuitive, et sait chercher. Elle retrouve facilement qui se cache. C'est une battante opiniâtre, pour ne pas dire pyrrhonienne, qui ne lâche pas prise tant qu'elle n'a pas trouvé. Mais elle sait écouter, être attentive, et elle comprends vite.

Histoire: - Pourquoi les nuages vont dans un sens et nous dans l’autre ?
Homaël Caldin éclata d’un rire tonitruant.
- Parce que nous ne sommes pas des nuages, Grenouille ! s’exclama-t-il en ébouriffant les cheveux de la fillette qui était assise à côté de lui.+
Celle-ci fit la moue. Elle adorait son père, ses gestes tendres et rudes à la fois, sa voix forte et son inaltérable bonne humeur. Elle aimait moins qu’il ne réponde jamais à ses questions.
Elle leva les yeux vers le ciel, contemplant les nuages qui filaient vers le sud alors que la caravane dont faisait partie leur chariot progressait vers le nord. Elle sentait qu’il y avait une explication à ce phénomène mais, à cinq ans et des poussières, les mots pour exprimer son trouble lui manquaient cruellement.
La Bâche s’entrouvrit dans son dos et sa mère se glissa près d’elle. Fine légère, toute de douceur et d’intuition. L’opposé de son époux.
Et son parfait complément.
- Maman, pourquoi les nuages vont dans un sens et nous dans l’autre ?
Isaya sourit, caressa les joues de sa fille du bout des doigts.
- Il y a deux réponses à ta question. Comme à toutes les questions, tu le sais bien. Laquelle veux-tu entendre ?
- Les deux.
- Laquelle en premier alors ?
La fillette plissa le nez.
- Celle du savant.
- Nous allons vers le nord parce que nous cherchons une terre où nous établir. Un endroit où construire une belle maison, élever des animaux et cultiver les fruits et légumes. C’est notre rêve depuis des années et nous avons quitté le village Konoha pour cette raison.
- Je n’aime pas les galettes de riz …
- Nous planterons aussi des fraises, promis. Les nuages eux, n’ont pas le choix, ils vont vers le sud parce que le vent les pousse et, comme ils sont très légers, ils sont incapable de lui résister.
- Et la réponse du poète ?
- Les hommes sont comme les nuages. Il sont chassés en avant par un vent mystérieux et invisible face auxquels ils sont impuissants. Ils croient maîtriser leur route et se moquent de la faiblesse des nuages, mais leur vent à eux est mille fois plus fort que celui qui souffle là haut.
La fillette croisa les bras et parut se désintéresser de la conversation afin d’observer un vol de canards au plumage chatoyant qui se posaient sur la rivière proche. Indigo, émeraude ou vert pâle, ils se bousculaient dans une cacophonie qui la fit rire aux éclats. Lorsque les chariots eurent dépassés les volatiles, elle se tourna vers sa mère.
- Cette fois, je préfère la réponse du savant.
- Pourquoi ? demanda Isaya qui avait attendue sereinement ce qu’elle savait être une intense réflexion.
- J’aime pas qu’on me pousse en cachette.

¤¤¤

Le convoi s’arrêta pour la nuit prêt d’un bosquet de charmes bleus dont le feuillage automnal bruissait sous la brise.
Il y avait douze chariots. Douze familles résolues à s’implanter dans les régions les moins sures du monde.
Le Kage avait pourtant averti les pionniers qu’ils ne pourraient guère compter sur le soutien des ninjas de Konoha, ce qui n’avait rien changé à leur détermination. Ils étaient partis une semaine plus tôt, laissant les villages qu’ils croisaient et longeant les rives des rivières après l’avoir traversé pour ne pas s’approcher des redoutables territoires ennemis.
Depuis trois jours, ils n’avaient plus détecté le moindre signe d’une présence humaine et le sentiment qu’ils touchaient au but commençait à vibrer en eux.

Après s’être occupés des chevaux, les pionniers se rassemblèrent autour du feu de camp pour partager le repas du soir. Unis par une même soif de liberté, ils avaient vus leurs liens se resserrer au cours du voyage, tissant la trame d’une communauté solidaire où la survie de chacun dépendait de l’aptitude de tous à vivre en groupe.
Ils avaient longuement évoqués leur future existence au fil de leurs discussions, le village de leurs rêves s’était esquissé. Harmonieux, juste, collégial …
Ils mourraient d’envie de commencer à le bâtir.
Homaël envoya une bourrade amicale à l’un de ses compagnon de route qui venait de se moquer de lui, puis tourna la tête, cherchant sa femme et sa fille. Il les découvrit assises l’une près de l’autre, un peu à l’écart, isolées dans cet univers secret dont elles seules possédaient la clef. Le cœur d’Homaël s’accéléra comme chaque fois qu’il réalisait à quel point il les aimait. Lui si solide et s hardi, si plein d’assurance qu’il s ‘était vus confier le poste de maître caravanier, lui Homaël Caldin, n’existait que parce que elles existaient.
Leur fille était la seule enfant de la caravane. Ils avaient d’abords craint que cette situation la perturbe mais avaient vite changé d’avis. Une fois le village bâti, des bébés naîtraient, nombreux, et, en attendant, la petite qui était très éveillée s’entendait à merveille avec les adultes qui l’entouraient.
Eveillée et têtue. Elle ne cédait que lorsqu’elle comprenait, et elle voulait tout comprendre. Ce train de caractère enchantait Isaya, mais Homaël, peu porté aux explications, s’emportait souvent quand sa fille exigeait de connaître les motifs d’une consigne avant de lui obéir.
- Elle n’a que cinq ans ! se plaignit-il à sa femme. Pourquoi faut-il toujours qu’elle discute ce que je dis ?
Isaya se contentait de sourire, et Homaël se calmait.
Comme par enchantement.

Lorsque, après la dernière chanson, le feu ne fut plus alimenté, les flammes baissèrent doucement, la nuit reprit ses droits.
Enroulés dans leurs couvertures, armes à portée de main malgré les chiens montant la garde autour du camp, les pionniers s’endormirent un à un.
Allongé sur le dos, Homaël ne parvenait pas à trouver le sommeil. Il contemplait l’infinité de la voûte céleste, le cœur serré par l’insignifiance de son existence. Presque effrayé. N’était-ce pas folie que de quitter la sécurité du village pour se lancer dans une telle aventure ?
Comme si elle avait perçu son trouble, Isaya se serra contre lui, et son angoisse se dissipa, remplacée par la chaleur d’une certitude : danger ou pas, il était heureux. Formidablement heureux.
- Elles sont si proches, murmura Isaya à son oreille en désignant les étoiles. On dirait qu’elles vont se poser près de nous. Tu crois que c’est possible ?
- Les étoiles ne se posent jamais près des hommes, répondit-il dans un souffle. Sauf la plus belle d’entre elles. Celle qui est maintenant ma femme.
Il se penchait pour l’embrasser lorsqu’une petite main l’attrapa par l’épaule et le secoua avec détermination.
- Papa ! Et la réponse du savant c’est quoi ?

¤¤¤

Le convoi, lourdement chargé progressait avec lenteur, mais l’allure importait peu. Le but était proche. Tout proche.
La veille au matin, les chariots s’étaient éloignés du fleuve, longeant un de ses affluents. Ils avaient traversés un bois de bouleau à l’écorce argentée dont les feuilles avaient déjà viré au rouge, puis une prairie si douce qu’ils avaient faillis s’y arrêter définitivement.
Les pionniers avaient toutefois décidé de poursuivre encore leur route, conscients qu’il ne fallait pas choisir à la légère le lieu où ils s’établiraient, mais convaincus que leur voyage était sur le point de s’achever. La terre était riche, l’eau limpide et le gibier abondant …
Des aboiements furieux tirèrent Homaël de sa rêverie. Il se mit debout sur son chariot, juste à temps pour voir les chiens s’élancer en direction de la forêt.
Avant qu’ils aient atteint la lisière, les buissons se déchirèrent pour laisser le passage à une bande d’être vivants aux allures farouches qui se ruèrent sur la caravane en vociférant. Trapus, musculeux, vêtus d’éléments d’armures disparates et brandissant des armes effrayantes. Ils n’avaient d’humanoïdes que la tête et la silhouette. Leur faciès repoussant était un assemblage hideux et aléatoire de crocs et pustules tandis que leurs grognements inarticulés ne portaient pas d’autre message qu’une promesse de mort.
- Des Bandits ! hurla Homaël. Aux armes !
Les pionniers réagirent au moment où les chiens arrivaient au contact. Redoutables molosses dressés pour protéger les troupeaux contre les attaques des loups, ils se jetèrent avec ardeur dans la bataille mais ils n’étaient qu’une poignée. Leurs puissantes mâchoires eurent beau commettre des ravages, ils furent balayés par un ennemi dix fois plus nombreux qu’eux.
Homaël avait saisi sa lourde hache et sauté du chariot, les traits sombres et la mine résolue. Les hommes et les femmes de la caravane, armés de cognées ou de poignards, se rassemblèrent autour de lui.
- Courage ! s’écria-t-il pour lutter contre la peur presque palpable qui se dégageait du groupe.
Après s’être débarrassé des chiens, les Bandits se précipitèrent en hurlant dans leur direction. Isaya ne leur accorda qu’un regard. Elle pris la main de sa fille qui contemplait avec stupeur les hommes mi bêtes charger, et l’entraîna dans le chariot. Ahanant sous l’effort, elle repoussa les caisses pesantes qui encombraient le plancher jusqu’à dégagé une petite trappe.
Le compartiment qu’elle dissimulait mesurait moins d’un mètre de long sur à peine trente centimètre de large. Il contenait des livres et des bijoux dont Homaël avait hérité quelques années plus tôt.
Isaya les jeta dans un coin avant de s’agenouiller devant sa fille.
- Ecoute moi, ma princesse. Ecoute moi plus attentivement que tu ne m’as jamais écouté.
Malgré la terreur qui broyait son ventre, sa voix était calme, douce et apaisante.
- Tu vas te cacher là-dedans, poursuivit-elle.
- Pourquoi ?
Une question simple, sans la moindre trace de tension.
- Parce que les monstres qui arrivent sont très méchants.
- Tu vas te cacher avec moi ?
- Non, je suis bien trop grande. Toi tu vas te cacher et, lorsque j’aurais refermé la trappe, tu ne feras plus le moindre bruit.
Isaya savait qu’il était inutile d’exiger quoi que ce soit de sa fille. Elle ne suivrait ses recommandations que si elle en comprenait le bien-fondé.
- Tu n’auras le droit de bouger que si tu n’entends plus rien pendant un très longs moment. Aussi long qu’une nuit entière.
- Sa fait vraiment long. Tu seras où toi ?
- Je ne sais pas, répondit Isaya en souriant. Je vais peut-être être obligée de partir et de te laisser seule, mais tu n’auras pas peur n’est-ce pas ? Tu es grande, tu ne pleurera pas.
- Tu reviendras quand ?
- Il y a deux réponses à ta question, comme à toutes les questions tu le sais bien. Je commence par laquelle ?
A l’extérieur, un bruit terrifiant s’éleva. Le bruit des armes qui s’entrechoquent, fendent a chair, donnent la mort. La fillette tressaillit mais sa mère, en lui caressant la joue, réussit à l’enfermer dans l’univers de son regard.
- Laquelle ?
- Celle du savant.
- Je ne reviendrait peut-être jamais, ma princesse.
- Elle est nulle cette réponse, donne moi celle du poète.
Iasaya se pencha pour la lui murmurer à l’oreille.
- Je serais toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serais là. Toujours.
Elle avait placé la main sur sa poitrine. La petite la regarda avec attention.
- Dans mon cœur ?
- Oui.
- D’accord.
Aidée par sa mère, elle s’allongea dans la cachette. Un hurlement d’agonie retentit derrière la bâche, à quelques mètres d’elles.
- Maman …
Il n’était plus temps de discuter, plus temps d’expliquer. Les bruits de combat étaient proches, le chariot tangua une première fois.
- Tu te souviens ma Princesse ? Silence et patience.
Un nouveau sourire rassurant puis Isaya referma la trappe. Elle la couvrit d’un simple panier afin qu’invisible de dehors, elle puisse facilement être ouverte de l’intérieur. Jeta un regard pour …
Le chariot tangua une deuxième fois. Bien plus fort.
Un bandit mi-bête mi-homme apparut, monstrueux, un cimeterre ébréché à la main, une lueur rouge au fond de ses yeux porcins.
Isaya tira un coutelas de sa ceinture et, dans le même mouvement, se jeta sur lui.
Ils basculèrent ensemble dans le vide et s’écrasèrent au sol. Isaya se redressa la première.
Frappa.
De toutes ses forces.
Le poignard planté jusqu'à la garde au milieu de la poitrine, le bandit mi-homme mi-bête poussa un grognement sourd et ne bougea plus. Déjà Isaya courait. Elle rejoignit Homaël qui combattait avec l’énergie du désespoir. Elle ramassa une machette et, refusant de regarder les corps de ses compagnons, se campa près de son mari.
A eux deux ils réussirent à repoussés la horde de Bandit.
Quelques secondes.
Le temps de s’étreindre une dernière fois.
D’échanger un ultime regard.
Puis les monstres se regroupèrent.
Fondirent sur eux.

Dans la cachette sous le chariot, une fillette ferma les yeux.
Très fort.

Village souhaité: Elle réside à Konoha no kuni, mais il faut savoir tout d'abord qu'elle est libre ... Libre de faire ce qu'elle souhaite, sous l'autorité d'aucun village quel qu'il soit. Elle possède cette richesse que beaucoup d'hommes ont oubliés ... La liberté ...

[Si vous voulez que je continue l'histoire dîte le moi mais c'est qu'elle est déjà longue ^^]

Je crois que c'est très bien commme àa, moi je te souhaite la binevnue ^^, faut plus qu'attendre Sasuke!! ( Faut un Avatar ^^)

Bienvenue à toi,superbe histoire^^,desolé mais j'ai pas pu la terminer ( vu sa longueur trop la flemme,)enfin j'ai lu la moitié quand même^^

Sinon euuuh il te faut un village,c'est obligé au début,mais apres quand tu seras Chuunin tu pourras deserter.....

Merci à vous =) Je la continuerais plus tard l'histoire car elle n'est pas terminé ^^ La fin n'explique pas pourquoi je suis maintenant à Konoha Alors j'ai changé sa justement, Elle réside à Konoha no kuni, mais il faut savoir tout d'abord qu'elle est libre ... Libre de faire ce qu'elle souhaite, sous l'autorité d'aucun village quel qu'il soit. Elle possède cette richesse que beaucoup d'hommes ont oubliés ... La liberté ... Donc bon ^^ Ensuite disons que imaginons que le personnage est 21 ans ? Il va se retrouver aspirant ? Si vous répondez oui à cette question je modifie l'age ^^

Bah ouais,elle va être aspirant (logique) sinon tout le monde va crée des perso ou ils ont plus de 30 ans et puis qui sait peut-être qu'ils arriveront même à 100...
Tout le monde commençe aspirant

Je modifie l'age dans ce cas sinon sa ne fait pas très cohérent ^^

Effectivement aspirant à 21 ans.....Enfin comme ton histoire n'est pas terminé je te validerai quand ça sera fait et puis comme les autres membres pourront te souhaité la bienvenue demain^^

Et bien je la continurais demain car je vais au dodo ^^ Demain je ne sais pas si j'aurais terminé ma présentation car j'ai une représentation Mais Samedi pour sur Alors bonne nuit à vous =)

Bienvenue parmi nous, belle présentation, vivement la suite ^^

Bienvenue

Bienvenue! =P
Amuse toi bien sur le rp! ^^